Marcel Mathias en retraite
à Confolens (1977-2011)
Marcel Mathias le jour de la cérémonie de remise des Palmes Académiques à Esse le 9 septembre 2001 (dix ans avant son décès).
Le 28 juillet 1977, Le Confolentais (Hebdomadaire Républicain d’Information de l’arrondissement de Confolens) consacre un article à la commune d’Esse, dans lequel le départ en retraite de Marcel Mathias est relaté [Voir la revue de presse Retraite et Palmes Académiques]
Le 12 septembre 1977, le Percepteur de Confolens remet son Livret de pension à Marcel Mathias, demeurant allée des peupliers à Confolens. Son grade de liquidation est celui d’instituteur chargé de direction d’école élémentaire de 2ème groupe, 2 classes et plus de 5 ans, au 11e échelon.
Le 16 décembre 1977, Marcel Mathias, instituteur à Esse, reçoit de la Perception de Confolens un avis d’échéances pour l’année 1978 [Marcel Mathias n’est à cette date plus instituteur à Esse, mais instituteur en retraite à Confolens.]
Le 6 février 1978, le Sous-Préfet de Confolens Jean-Claude Vincent émet une carte d’identité au nom d’Anne-Marie, Eugénie LABAJAUDERIE épouse MATHIAS, domiciliée Allée des Peupliers à Confolens. Taille : 1m.65. Signes particuliers : néant.
Le 12 juin 1978, Marcel Mathias écrit une carte postale de Barbotan-les-Thermes (Gers) à sa mère.
En 1979, Marcel et Raymonde Mathias font un séjour au Maroc : ils visitent le Rif (Chefchaouen, Ketama), Azrou, Casablanca, Ourika, Ouarzazate.
Le 12 juillet 1979 à Casablanca (Maroc) naît Vincent Manuel Mathias, premier fils de Joël Mathias et de Monique Millon.
Le 1er septembre 1979 à Esse, Marie-Claude Mathias se marie avec Jean-Claude Aladenyse. Une quête à mariage rapporte 175 francs à partager entre les caisses des écoles d’Esse et d’Adriers (Vienne) ; une autre quête organisée au profit de la coopérative scolaire d’Esse rapporte 101,30 francs.
Anne Marie Mathias Labajauderie au Maroc, accompagnée de Suzanne Ségurel, épouse Lerat, et son mari Frédéric Lerat (photos probablement prises par Marcel Mathias).
Mariage de Marie-Claude Mathias et Jean-Claude Aladenyse le 1er septembre 1979,
prise devant l'école d'Esse (photo studio Raymond, Chasseneuil-Confolens).
En haut à gauche, Jean Labajauderie (le frère d'Anne Marie Mathias). En haut à droite, Joël Mathias; à sa droite, son épouse Monique Mathias-Millon; à droite de celle-ci, Roland Martinaud (fils de Célestin Martinaud, neveu de Marie Mathias-Martinaud) et son épouse Dany Martinaud; à droite de celle-ci, Alain Mathias et son épouse Claudette Mathias-David. Sur la droite du marié Jean-Claude Aladenyse, ses parents; au-dessus de sa mère, Gervaise Bérard-Labajauderie (la souer d'Anne Marie Labajauderie) et son mari; la petite fille avec le ruban vert est Sandrine Mathias, fille d'Alain Mathias. Sur la gauche de la mariée Marie-Claude Mathias, son père Marcel Mathias, sa mère Anne Marie Mathias-Labajauderie et sa grand-mère Germaine Labajauderie-Buffetaud. Le petit garçon de 2 ans 1/2 qui admire les mariés en suçant son pouce sans regarder le photographe, aux pieds de son grand-père, est le futur réalisateur du présent web-documentaire.
Du 18 mars 1980 au 11 avril 1980, Marcel et Raymonde Mathias font un séjour au Maroc auprès de leur petit-fils Vincent Mathias.
Le 26 septembre 1980 à Soyaux, naît Frédéric Emmanuel Mathias, second fils d’Alain Mathias et de Claudette David.
Le 5 novembre 1981, Germaine Flotard, veuve de Gustave Bidaine, décède à Grasse (Alpes-Maritimes).
Le 27 février 1982 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) naît Étienne Julien Mathias, second fils de Joël Mathias et de Monique Millon.
La mère de Marcel Mathias,
son épouse et sa belle-mère:
Marie Mathias-Martinaud, Anne Marie Mathias-Labajauderie et Germaine Labajauderie-Buffetaud,
à Saint-Laurent-de-Céris vers 1980.
Le 24 avril 1982 à Saint-Pardoux, Jean Buffetaud épouse en secondes noces Marie Thérèse Lochet.
Le 8 juin 1983, Marcel Mathias écrit une carte postale de Barbotan-les-Thermes à sa mère, dans laquelle il écrit: "Peut-être as-tu vu Alain, il devait aller cueillir quelques fraises à Confolens. J'espère aussi que les chiens sont tranquilles et ne te donnent pas trop de mal. A bientôt le plaisir de te revoir. Je t'embrasse de tout mon coeur."
Le 11 août 1985 à Confolens, Raymond Leclerc dédicace son livre présenté par Henri Coursaget intitulé Danse, CONFOLENS, Danse ! (éditions Lucien Souny, 1985) : « Pour mes fidèles amis Marcel et Raymonde Mathias qui ont vécu l’aventure du CALR et se plongeront dans ces pages pour y découvrir d’autres fraternités. En toute sympathie. »
Le 15 décembre 1985 à Poissy (Yvelines) naît Amaury Antoine Mathias, troisième fils de Joël Mathias et de Monique Millon.
Le 19 juillet 1986, Marie Mathias née Martinaud, la mère de Marcel Mathias, décède à Saint-Laurent-de-Céris. Elle est inhumée dans le cimetière de Saint-Laurent-de-Céris aux côtés de son mari Jean Mathias.
Le 6 octobre 1986, une facture d’Electricité De France est émise au nom de Madame Marie Mathias, rue de la Poste à Saint-Laurent-de-Céris.
Le 21 juin 1987, Marcel Mathias est en visite à Cudos et Captieux (Gironde), et le 24 juin 1987 il visite l’église de Lagrange (Landes) ; il est alors en cure à Barbotan-les-Thermes (Gers).
Le 20 juillet 1987, Raymond Viaud, notaire à Champagne-Mouton, envoie à Marcel Mathias une convocation au sujet « de la vente à Mr BERNARD » [Il s’agit de la vente de la propriété de Marie Mathias, rue de la Poste à Saint-Laurent-de-Céris.]
Le 15 juin 1988 à Angoulême, l’Association Nationale Pour la Pérennité du 18 JUIN 1940 et les Anciens Français libres de la Charente publie Le dernier carré ou les mousquetaires de l’impossible avec la caution du Conseil général de la Charente. Le réalisateur Gustave Marchives, Ancien du 1er Bataillon de la France Libre, dédicace l’ouvrage : « à Mr Mathias, avec l’expression sincère de mes sentiments en souvenir du passé »
Du 12 au 15 septembre 1988, un exercice en terrain libre baptisé Demeter 88 est organisé par la 2e Division Blindée dans la région de Soissons [Rapporté dans L’Aisne Nouvelle du 17 septembre 1988.] Gervaise Labajauderie y assiste et écrit : « Une grande partie des chars est passée à Vic dans notre rue. Nous sommes allés sur le plateau voir les exercices sur invitation et la traversée de l’Aisne à Attichy, par les véhicules amphibies. »
Le 22 octobre 1988, Marcel Mathias, en tant que D.D.E., fait une visite de l’école primaire publique d’Esse (Directeur : Mr Magnant) [Voir la rubrique D.D.E.N.]
Le 23 décembre 1988, le livre La Révolution française à Confolens – 1789-1799 paraît chez Projets éditions(Poitiers) ; préfacé par Jean Reyrat, Maire de Confolens et conseiller régional, il est dédicacé par Maurice de Poitevin et signé par ses deux co-auteurs, Pierre Boulanger et Joël Giraud : « A la famille Mathias, mes meilleurs souvenirs. »
En 1989, Monsieur Mathias est membre actif de la Société des Amis du Vieux Confolens.
En 1989, Joséphine Mathias, née Rouhet, veuve de Hubert Mathias, décède ; elle est inhumée à Saint-Laurent-de-Céris.
Le 20 mai 1989, une réunion de l’équipe départementale de l’Amicale des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française des Charentes a lieu à Etagnac : une photo de l’équipe est prise avec le drapeau de l’amicale. Marcel Mathias y figure au troisième rang [Voir l'Historique des Chantiers de Jeunesse].
Le 22 septembre 1989, Marcel Mathias, en tant que D.D.E., fait une visite de l’école primaire publique d’Esse (Directeur : Mr Magnant) [Voir la rubrique D.D.E.N.]
Le 26 mars 1990, Jacques Demont dédicace sa brochure sur La paroisse Saint-Barthélémy de Confolens : « Pour M. et Madame MATHIAS, avec ma très cordiale amitié ».
Le 15 décembre 1990, Marcel Mathias, en tant que D.D.E., fait une visite de l’école primaire publique d’Esse (Directeur : Mr Magnant) [Voir la rubrique D.D.E.N.]
Le 1er janvier 1991, Marie Alligant, veuve de Victor Mathias, décède à Ambernac.
Le 8 février 1991, une réunion de l’équipe départementale de l’Amicale Nationale des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française – délégation des Charentes a lieu au restaurant Labrousse à Etagnac.
Le 1er juin 1991, lors d’une séance à la Maison de la Presse de Confolens, André Soury dédicace son livre Quand l’ombre marquait le temps (éditions Autres Temps, 1991) : « A mon ami Marcel ces souvenirs d’un autre temps. Avec mon amitié. »
Du 14 au 16 juin 1991, un pèlerinage des Chantiers de la Jeunesse Française a lieu à Lourdes [Selon ce qu’a écrit Marcel Mathias sur un agenda.]
Le 15 février 1992, Marcel Mathias, en tant que D.D.E., fait une visite de l’école primaire publique d’Esse (directeur : Mr Magnant) [Voir la rubrique D.D.E.N.]
Le 31 août 1993, Jean Mathias, fils de Hubert et Joséphine Mathias, cousin germain de Marcel Mathias, décède à Saint-Michel-d’Entraygues. Il est inhumé avec son épouse Angèle Labrousse dans le cimetière de Saint-Laurent-de-Céris sous le nom de Jean Mathias dit « Microbe » [Ce surnom lui aurait été donné par Marcel Mathias alors qu’il aurait eu celui-ci pour élève à l’école de Saint-Laurent durant l’année scolaire 1939-1940 (information non vérifiée).]
De 1994 à 1997, Marcel Mathias est Délégué Départemental de l’Éducation Nationale (DDEN) à la délégation de Confolens.
Le 12 mai 1994, à l’occasion d’une rencontre, « la famille Lang Albert de Hoffen offre en souvenir de cet événement à Mr. Et Mme Labajauderie de Taminage Berneuil ce livre du Canton de Soultz/F. Amicalement » [Anne Marie Labajauderie conserve ce livre paru chez Le Verger Editeur à Illkirch en 1992. Le canton de Soultz-sous-Forêts se situe dans le Bas-Rhin, au nord-est de Strasbourg, près de la frontière avec l’Allemagne. Hoffen se situe quelques kilomètres à l’est de Soultz-sous-Forêts. Selon Anne Marie Mathias, la famille Lang a été réfugiée à la ferme de la famille Labajauderie pendant la guerre. Dossiers au nom d’Albert Lang au SHD de Vincennes (GR 16 P 335908) et au SHD de Caen (AC 21 P 585485), non consultés : Albert Lang, né le 2 septembre 1920 à Riedisheim (Bas-Rhin), Déporté et Interné de la Résistance (DIR).]
De 1995 à 2009, Anne-Marie Mathias-Labajauderie est adhérente de l’Association des Anciennes Elèves de l’E.P.S. et du Collège Moderne du Dorat.
Le 12 juin 1995, un encadré de la Charente Libre intitulé "Alain Mathias (ECA) sérieusement blessé" indique: "15h30 samedi, la réunion d'athétisme vient de débuter. Les premiers concours commencent, dont celui du lancer du marteau. Un jeune athlète s'élance par des mouvements de rotationet lance son engin. Le marteau, de 7,250 kg accroché par un filin d'acier de 1,22m (oignée comprise), s'envole dans les filets de protection. Alain Mathias, 50 ans, président de l'Est-Charente-Athlétique, figure de l'athlétisme régional, est membre du jury. Il est debout, juste derrière le filet de protection. Il reçoit le marteau en pleine face. Alain Mathias s'effondre, le visage ensanglanté mais ne perd pas connaissance. Les pompiers de Cognac donnent les premeirs soins et évacuentr le blessé vers l'hôpital de Cognac. Après l'analyse, du scanner, Alain Mathias, dont les jours ne sont pas en danger, est évacué vers l'hôpital Pellegrin à Bordeaux. Il souffre d'un tarumatsime crânien, de fractures du nez et de la machoire, de multiples éclats osseux, d'un enfoncement de l'orbite et de problèmes oculaires dûs à un énorme hématome. Le stade de Cognac est un des rares à offrir une cage de marteau sur l'aire principale. Il permet aux lanceurs de marteau de concourir avec les autres athlètes et ils y tiennent. Samedi, Alain Mathias qui met en garde, depuis des dizaines d'années sur les stades le week-end et en semaine ses élèves du lycée de Chasseneuil, a eu une seconde d'inattention. Si l'aire de lancer de Cognac avait été équipée d'un double filet, l'accident ne serait pas arrivé." [Le stade de Cognac portait alors de nom de Félix Gaillard; il a été renommé depuis du nom de Bernard Bécavin, ancien dirigeant du Cognac Athlétique Club. Alain Mathias n'enseignait pas au lycée, mais au collège de Chasseneuil].
Le 14 juin 1995, un article de la rubrique Athlétisme de la Charente Libre intitulé "Marteau: Alain Mathias (ECA) toujours à l'hôpital" indique: "Samedi à Cognac, Alain Mathias, président de l'Est-Charente-Athlétique a été victime d'un accident rare et grave au concours du lancer de marteau (lire notre édition du lundi 12 juin). Hospitalisé pour le longues semaines à Bordeaux, il souffre de multiples fractures au visage, d'hématomes très importants autour de l'oeil,qui empêchent momentanément les médecins de se prononcer catégoriquement sur l'état du nerf optique. Il semble que l'origine de cet accident soit dû à une grave déficience des filets de protection de la cage de marteau et non à une seconde d'inattention de la victime. Lundi, deux expériences ont été menées par la famille et un technicien de l'athlétisme pour tenter de comprendre ce qui s'est passé. "Des photos démontrent que les cordes qui amarrent les filets de protection au sol, trop longues, n'ont pas joué leur rôle. La souplesse du filet serait d'environ deux mètres. Un témoin affirmait samedi que le filet de protection se serait soulevé lors du jet du marteau", précise un membre de la famille. Il est possible que la famille dépose une plainte contre X afin qu'une enquête soit ouverte et détermine exactement les causes de l'accident."
Le 6 juillet 1995, Jean-Christophe Mathias, élève au Lycée Émile Roux de Confolens, obtient le Baccalauréat général Littéraire avec mention bien (Académie de Poitiers).
Le 27 septembre 1995, un article de la rubrique Sports / Athlétisme de la Charente Libre signé par Béatrice Pagnoux est intitulé: "Alain Mathias, le «miraculé»"
Le 28 février 1996, un article de la Charente Libre mentionne la promotion du 1er janvier 1996 des médailles de la Jeunesse et des Sports: "M. Alain Mathias, membre du comité directeur de la Charente, secrétaire de la commission départementale des courses sur route (Chasseneuil-sur-Bonnieure)", obtient une médaille d'argent.
Le 22 mai 1996, André Soury dédicace son livre Le Moine Rouge (L’Harmattan, 1996) : « A Marcel Mathias ces quelques lignes avec mon excellent souvenir. Amitiés »
Le 27 mai 1996, Germaine Buffetaud, la belle-mère de Marcel Mathias, décède à Confolens dans sa 95e année.
L’avis de décès publié dans le Populaire du Centre et dans les pages Charente du journal Sud-Ouest du 28 mai 1996 par M. et Mme Marcel Mathias, M. et Mme Claude Bérard, M. et Mme Jean Labajauderie, leurs enfants et petits enfants, les familles Buffetaud et Labajauderie, mentionne comme contact les pompes funèbres Bouty à Confolens et indique : « La famille remercie tout particulièrement ses médecins, ses infirmières, le personnel de Santé Service et l’ADMR, ainsi que toutes les personnes qui, par leur présence ou leurs pensées s’associeront à son deuil. "Elle était douce et aimait les autres". »
Le 29 mai 1996, les obsèques de Germaine Labajauderie, née Buffetaud, ont lieu en l’église Berneuil, suivies de l’inhumation dans le caveau de famille à Berneuil.
Germaine Labajauderie-Buffetaud chez Marcel et Anne-Marie Mathias à Confolens, photo de juin 1993.
Le 7 mars 1997, l’Inspecteur d’Académie de la Charente Y. Hadjadj nomme Marcel Mathias Délégué Départemental de l’Éducation Nationale à l’école d’Esse pour la rentrée scolaire 1997-1998.
Le 15 mai 1997 à Montbron, a lieu la remise des prix du Concours de la Résistance 1996/1997 sur le thème « Les femmes dans la Résistance et la Seconde Guerre Mondiale » : Frédéric Mathias, élève de Première au Lycée Émile Roux de Confolens, obtient un premier prix en catégorie dissertation.
Le 22 novembre 1997, une journée d’études intitulée « 1940 entre Loire et Garonne » est organisée à l’Hôtel de Ville de Confolens par le Centre Régional d’Histoire de la Mémoire et de la Déportation et de la France de Vichy (CERHIM) présidé par Paul Lévy. Marcel Mathias conserve le dossier au nom de Michel Alcalay.
Le 7 janvier 1998, Raymond Gumbel décède ; il est inhumé au cimetière d’Oradour-sur-Glane dans le caveau de la famille Marcelin Grand-Pommier avec son épouse Jeannine Grand (née le 13 décembre 1930 et décédée le 28 janvier 1977).
Le 21 mars 1998, André Soury dédicace son livre Les métayers de 46 (éditions de La Veytizou, 1998) : « A Marcel Mathias cette page de gloire des métayers du Limousin. Amitiés »
Le 10 juillet 1998, Frédéric Mathias, élève au Lycée Émile Roux à Confolens, obtient le Baccalauréat général Littéraire avec mention assez bien (Académie de Poitiers).
Le 12 septembre 1998, une carte de la société de chasse de Confolens est délivrée à Marcel Mathias pour l’année 1998/99 par Monsieur Gravelle.
Le 20 octobre 1998 à Vic-sur-Aisne ont lieu les obsèques de Claude Bérard, Principal honoraire de collège. L’avis de décès est publié dans Le Populaire du Centre du 21 octobre 1998 par son épouse Mme Gervaise Bérard (sœur d’Anne-Marie Labajauderie).
Le 4 et 5 décembre 1998, un colloque intitulé « Les réfugiés pendant la Seconde Guerre Mondiale entre Loire et Garonne » est organisé à la Communauté de Communes de Confolesn par la CERHIM présidé par Paul Lévy. Marcel Mathias conserve le dossier au nom de Jacques Dumont.
Le 19 septembre 1999 à Chasseneuil, Roger Chastaing (alias Capitaine René) dédicace son livre F.T.P.F. en Limousin (éditions de La Veytizou, 1999) : « A Monsieur Marcel Mathias avec ma très vive sympathie. Bien cordialement »
[L’avis d’obsèques de l’auteur (décembre 2000) et un article sur sa vie sont collés au dos de la couverture.]
Le 26 septembre 1999, la 25e Assemblée Générale de l’Amicale Charentes des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française a lieu à Chasseneuil avec 156 membres. Marcel Mathias assiste à une cérémonie de dépôt de gerbe au pied du monument aux morts de Chasseneuil (devant la mairie) par l’Amicale des Anciens des Chantiers de Jeunesse Charentes [Voir rubrique Chantiers de Jeunesse]
Le 15 octobre 1999, Paul Lévy dédicace son livre Élie Bloch – Être Juif sous l’Occupation (Geste éditions, 1999) : « A Monsieur et Madame Mathias l’histoire de cet homme remarquable victime de la barbarie. Avec toutes mes amitiés »
En 2000, Marcel Mathias est membre adhérent de l’Association amicale des anciens et anciennes élèves des Écoles normales de Charente.
Le 12 mars 2000, une journée de rencontre entre anciens élèves et anciens instituteurs est organisée à Saint-Coutant [Voir la rubrique Retraite et Palmes Académiques]
Le 4 juin 2000, Jean Yves Labajauderie (fils de Jean Henri Labajauderie et de Germaine Buffetaud) décède à Taminage, Berneuil.
Le 7 juin 2000, les obsèques de Jean Labajauderie (ancien combattant d’Algérie) ont lieu en l’église Berneuil. Un avis d’obsèques est publié dans Le Populaire du Centre du 6 juin 2000 par son épouse Marie-Thérèse Labajauderie, ses enfants Dominique et Nadine Labajauderie, et Chantal et Laurent Dubot-Labajauderie, M. et Mme Raymonde Mathias, Mme Gervaise Bérard, M. et Mme Bois.
Du 1er au 8 août 2000, Anne Marie Mathias fait un voyage à Echarcon près d’Evry [Lieu de domicile de sa fille Marie-Claude Aladenyse.]
Le 21 octobre 2000, André Soury dédicace trois de ses livres :
"Ah ! si le peuple voyait ça" (Académie Européenne du Livre, 1989) : « Pour Marcel, Raymonde et Alain, les lignes qui suivent pour un voyage à l’intérieur de l’Assemblée Nationale. Avec mon amitié » ; L’état des lieux (lettre ouverte à la génération Marchais-Mitterrand (Académie Européenne du Livre, 1992) : « Pour Marcel, Raymonde et Alain Mathias, ces lignes jetées dans un débat de société. Avec mon amitié et mon vieux souvenir » ; Le défi des Baptiste (éditions de La Veytizou, 2000) : « Pour Marcel Mathias, ce cri de révolte des gens qui veulent vivre au Pays. Avec mon amitié et mon meilleur souvenir. »
De 2001 à 2007, Marcel Mathias est Délégué Départemental de l’Éducation Nationale (DDEN) à la délégation de Confolens. [Voir la rubrique consacrée à la D.D.E.N.]
Le 19 mars 2001, Mr et Mme Mathias sont invités à la journée « Retrouvailles » organisée le 26 mai 2001 pour fêter les 50 ans des anciens élèves de l’école publique d’Esse [Voir rubrique Retraite et Palmes]
Le 22 juin 2001, par décret du Premier ministre, Marcel Mathias est nommé Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques, Jack Lang étant Ministre de l’Éducation Nationale et Hervé Célestin étant Chef du bureau du cabinet, secrétaire du Conseil de l’Ordre. Le même jour à Paris, le Ministre de l’éducation nationale Jack Lang informe Marcel Mathias de cette nomination et lui adresse ses félicitations pour cette distinction qui « consacre un engagement quotidien au service de l’Education nationale ».
Le 2 juillet 2001 à Angoulême, le Préfet de la Charente Marie-Françoise Haye-Guillaud informe Marcel Mathias qu’elle a appris « avec un vif plaisir que M. le Ministre de l’Education Nationale » l’a nommé « chevalier dans l’ordre des Palmes académiques, au titre de la promotion du 1er janvier 2001 », et lui annonce que le « diplôme afférent à cette distinction » lui parviendra prochainement.
Le 2 juillet 2001 à Ruffec, le Sénateur de la Charente, Vice-Président du Conseil Régional de Poitou-Charentes et Maire d’Etagnac, adresse ses félicitations à Marcel Mathias pour sa « distinction au grade de Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques », et « espère avoir le plaisir de (le) féliciter de vive voix très prochainement. » [La lettre a été expédiée du Palais du Luxembourg, Paris 6e.]
Le 3 juillet 2001 à Juillé, le député de la Charente Jérôme Lambert, qui a été informé par « Madame le Préfet de la Charente » que Marcel Mathias a été nommé au grade de Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques, adresse ses félicitations à ce dernier « pour cette distinction qui vous honore. » [La lettre a été expédiée du Palais Bourbon, Paris 7e.]
Le 3 juillet 2001 à Angoulême, le député de la Charente et Conseiller Municipal d’Angoulême Jean-Claude Viollet adresse ses félicitations personnelles à Marcel Mathias pour sa nmination au grade de Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques au titre de la promotion du 1er janvier 2001 [La lettre a été expédiée du Palais Bourbon, Paris 7e.]
Le 4 juillet 2001 à Gond-Pontouvre, le Député de la Charente, Maire de Gond-Pontouvre et Vice-Président de la Communauté d’Agglomération du Grand-Angoulême Jean-Claude Beauchaud adresses ses félicitations à Marcel Mathias pour sa nomination au grade de Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques au titre de la promotion du 1er janvier 2001 [La lettre a été expédiée du Palais Bourbon, Paris 7e.]
Le 12 juillet 2001 à Confolens, le sous-préfet de Confolens Patrick Gensac adresse ses félicitations à Marcel Mathias pour sa nomination au grade de Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques, par décret en date du 22 juin 2001.
Le 14 juillet 2001, est organisée la journée du Cinquantenaire du groupe scolaire de l’école d’Esse [Voir la rubrique Retraite et Palmes]
Le 16 juillet 2001 à Angoulême, le Président du Conseil départemental de la Charente Jacques Bobe adresse ses félicitations à Marcel Mathias pour sa nomination au grade de Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques au titre de la promotion du 1er janvier 2001.
Le 18 juillet 2001 à Confolens, le sous-préfet de Confolens Patrick Gensac adresse ses félicitations à Marcel Mathias pour sa nomination au grade de Chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques, par décret en date du 21 février 2001.
Le 19 juillet 2001 à Angoulême, l’Inspecteur d’Académie Directeur des Services Départementaux de l’Education Nationale de la Charente Alain Chevre adresse ses félicitations à Marcel Mathias pour sa nomination au grade de Chevalier dans l’Ordre National des Palmes Académiques, au titre de la Promotion du 1er janvier 2001.
Le 9 septembre 2001, une cérémonie de remise des palmes académiques à Édith Giraud et à Marcel Mathias est organisée à Esse [Voir rubrique Retraite et Palmes]
Le 15 septembre 2001 à Saint-Laurent-de-Céris, Jacqueline Trasibule « a appris en lisant la "Charente Libre" que Monsieur Mathias a été promu Chevalier dans l’ordre des Palmes Académiques (et) elle tient à lui adresser ses compliments sans oublier sa fidèle compagne. »
Le 15 septembre 2001 à Saint-Claud, Rémy Banliat adresse une lettre à Marcel Mathias contenant son poème « Crime sans risque » [Voir rubrique Retraite et Palmes]
Le 19 septembre 2001, Rémy Banliat adresse une seconde lettre à Marcel Mathias [Voir rubrique Retraite et Palmes]
Le 20 septembre 2001 à Chabanais, Jean Lasalmonie, qui vient d’apprendre que Marcel Mathias a été promu dans l’ordre des Palmes académiques, lui écrit : « C’est une récompense bien méritée dont nous te félicitons très amicalement. A un de ces jours. »
Le 21 septembre 2001 à Confolens, le maire de Confolens Hervé Devillemandy écrit à Marcel Mathias : « Je prends connaissance dans "le Confolentais" de votre promotion dans l’ordre des Palmes Académiques. A cette occasion je tiens à vous exprimer toutes mes félicitations et à vous dire que vous faites honneur à la ville de Confolens. »
[Il s’agit de l’article intitulé « Les palmes académiques pour Edith Giraud et Marcel Mathias » paru dans Le Confolentais le 21 septembre 2001 (rubrique Confolentais): voir rubrique Retraite et Palmes]
Le 22 septembre 2001 depuis Salers (Cantal), René et Madeleine Demontoux adressent à Mr Mathias toutes leurs « félicitations pour cette promotion au grade de Chevalier des Palmes Académiques, amplement méritée ; juste reconnaissance des pairs au vu du travail accompli pour notre école laïque et républicaine. »
Le 2 octobre 2001, Rémy Banliat envoie une lettre à Madame et Monsieur Mathias [Voir rubrique Retraite et Palmes]
Le 23 novembre 2001, Marcel Mathias, en tant que DDEN, fait une visite de l’école publique d’Esse (chef d’établissement : Jean-Michel Magnant) [Voir rubrique D.D.E.N.]
En janvier 2002, le Bulletin municipal N°23 d’Esse consacre une page au Cinquantenaire de l’école et à la cérémonie de remise des Palmes académiques : « A l’occasion du cinquantenaire, les Parents d’élèves ont souhaité honorer les enseignants qui les avaient éduqués. Il ont demandé et obtenu les palmes académiques pour Madame GIRAUD et Monsieur MATHIAS. Ces palmes académiques leur ont été remises par Monique AUDONNET qui représentait le sous Préfet de Confolens et qui a été formée par ces deux enseignants. »
Les 24 et 25 mai 2002, Annie Changeur-Patrier publie un cahier du patrimoine sur « Saint-Coutant » (partenaires : Nature et Accueil, mairie). L’auteur écrit la dédicace suivante : « A mon "Maître d’Ecole", Mr Mathias, pour son intérêt, sa curiosité – et sa bienveillance – toujours renouvelés, lorsqu’il s’agit du patrimoine de St Coutant (et des Saint-Coutantais !…) Amicalement ».
Le 30 juin 2003, un article intitulé « Joie pour les palmes, mais tristesse pour les départs » est publié dans Le Confolentais (rubrique Esse) [Voir Retraite et Palmes]
Le 7 septembre 2003, la 29e Assemblée Générale de l’Amicale Charentes des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française a lieu à la salle des fêtes de Massignac avec 118 membres. Marcel Mathias y assiste en compagnie de son épouse Anne Marie Labajauderie et il devient trésorier adjoint [Voir rubrique Chantiers de Jeunesse].
Le 21 novembre 2003, Marcel Mathias, en tant que DDEN, fait une visite de l’école publique d’Esse (chef d’établissement : Mr Magnant).
Le 13 décembre 2003, René Noualet [Demeurant rue du Mémorial à Chasseneuil-sur-Bonnieure] envoie à MARCEL Mathias le Bulletin départemental de liaison des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française N°29 (janvier 2004) avec ce mot : « Cher Marcel, Ci-joint notre journal N°29 de 2004. J’ai eu des nouvelles de Pierre Fourgeaud. (…) Il te fait dire bonjour. Sincères amitiés. » [Voir rubrique Chantiers de Jeunesse]
Le 17 janvier 2004, Michel Jardinet auto-publie une brochure intitulée Avoir 20 ans dans les années 40 sur « les chantiers de jeunesse et les déportés au travail obligatoire (S.TO.) » de la commune d’Esse : Marcel Mathias, qui est cité dans une liste nominative (« On se souvient de... ») en reçoit un exemplaire.
En mars 2004, le Bulletin municipal N°25 d’Esse publie une photo de remise des palmes académiques à Jean-Michel Magnan et à Marie-France Vignaud, instituteur : on y voit Marcel Mathias épingler les palmes à Jean-Michel Magnan, en présence du maire Guy Traumat. Il publie aussi une rubrique « Histoire locale » consacrée à la guerre 1939-1945 et citant Marcel Mathias, au Bourg, dans la liste « On se souvient de » [Extrait : « En Afrique du Nord, le général Van Hecke, un ancien de 1914, organise des groupes qui plus tard participeront activement au débarquement américain en novembre 1942 puis à la libération de l’Afrique du Nord et aussi à celle de la France occupée. Un bon nombre de nos concitoyens ont été appelés aux chantiers de jeunesse, quelques-ns seront rappelés en 1945 pour garder les prisonniers allemands. »]
Le 5 septembre 2004, la 30e Assemblée Générale de l’Amicale Charentes des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française a lieu à Suaux. Marcel MATHIAS est trésorier-adjoint [Voir l'Historique des Chantiers de Jeunesse].
Le 26 septembre 2004, Marie Bessaguet, co-auteur avec Jean-Pierre Bessaguet de Ohé saboteurs ! L’épopée des humbles (éditions, Écritures, Brive, mars 2004), dédicace leur livre : « à Marcel Mathias, ancien Résistant. Tous mes remerciements pour l’intérêt que vous portez à cette époque. Amitiés. » [Ce livre se présente comme une fiction historique, composée d’une partie consacrée aux maquisards de Charente (avec l’évocation de la « tenaille » d’Ambernac) et d’une autre consacrée aux poches de l’Atlantique (avec photos d’époque).]
Le 12 novembre 2004, Marcel Mathias, en tant que DDEN, fait une visite de l’école publique d’Esse (chef d’établissement : Jean-Michel Magnant).
Le 12 juin 2005, la 31e Assemblée Générale de l’Amicale Charentes des Anciens des Chantiers de la Jeunesse Française a lieu dans les locaux de l’École Primaire de Cherves-Châtelars. Le bureau de l’année passée est renouvelé. [Voir l'Historique des Chantiers de Jeunesse]
Le 9 septembre 2005, les obsèques de Roger Descossas (Ancien des Chantiers de Jeunesse, classe 1941) ont lieu à Confolens en présence de Marcel Mathias et d’autres membres de l’Amicale charentaise. [Voir l'Historique des Chantiers de Jeunesse]
Le 21 juin 2006, Pierre Boulanger dédicace son ouvrage Confolens au XIXe siècle : « Pour M. et Mme Mathias. Meilleurs sentiments d’amitié de la part de l’auteur. »
Le 24 septembre 2006, André Soury dédicace son livre Le Pain blanc (L’Écir, 2006) : « Pour Marcel Mathias le pain de la Résistance. Avec mon amitié. »
Le 10 juin 2007, La 33e Assemblée Générale de l’Amicale Charentes des Anciens de Chantiers de la Jeunesse Française a lieu à Cherves-Châtelars. Marcel Mathias est secrétaire adjoint [Voir rubrique Chantiers de Jeunesse]
Le 24 novembre 2008, Le Populaire du Centre publie un article intitulé « Magnac-Laval : 800 morts en un été » sur le départ au front du 338e Régiment d’Infanterie fin août 1914. Anne Marie Labajauderie le conserve et l’annote ainsi : « C’est notre grand-père Martial Labajauderie qui avait conduit son fils Henri (notre papa) et son camarade Lorgue, le papa de Marcel, qui avait trois ans, en voiture à cheval à Magnac-Laval. Lorgue a été tué au début de la guerre. » [Jean Henri Labajauderie a dû être transporté de Magnac-Laval à Angoulême début août 1914 pour rejoindre son régiment : le 107e R.I. Cet article du Populaire n’est donc pas en lien avec lui. Voir l'Historique du 107e R.I.]
En 2009 et en 2011, Mr et Mme Mathias sont membres de l’association Nature et Accueil.
En juin 2010, paraît le livre de Henri Coursaget Confolens, la magie du folklore (éditions Le Croît Vif) ; l’auteur fait une dédicace : « Pour Mr Mathias un ancien du Festival… qui un certain jour est passé sous une voiture ! Bravo le sportif. Très amicalement »
Le 2 janvier 2011, Maria Antoinette Martinaud, née Joly, décède à Rivières (Charente).
Le 28 janvier 2011, René Raymond Buffetaud décède à Limoges.
Le 8 septembre 2011, Marcel Mathias décède rue Labajouderie à Confolens.
Le 9 septembre 2011, le décès de Marcel Mathias est déclaré par Valérie Ferré, cadre supérieur de santé, auprès du maire de Confolens Jean-Louis Dutriat.
Le 10 septembre 2011 à 14h, les obsèques de Marcel Mathias sont célébrées par l’abbé Michel Fernandez en l’église Saint-Maxime de Confolens. Marcel Mathias est inhumé au cimetière de Saint-Laurent-de-Céris, dans le caveau de ses parents Jean Mathias et Marie Martinaud [Voir rubrique Adieux]
Le 11 mars 2013, Gilbert Jean Buffetaud décède à Limoges.
Le 16 avril 2013, Irène Denise Buffetaud décède à Limoges.
De 2012 à 2015, Anne Labajauderie épouse Mathias est électrice dans le canton sud de Confolens.
Le 23 novembre 2017, Aimée Desroches décède à Limoges.
Le 16 juillet 2019, Roger Buffetaud décède à Bessines-sur-Gartempe.
Dans son édition du 16 au 29 juillet 2020, le bulletin Z'Est Charente (publié à Chasseneuil-sur-Bonnieure) évoque "la leçon de mémoire au travers de l'histoire de Marcel Mathias" dans le présent webdocumentaire:
Dans son édition du 30 juillet au 27 août 2020, L'Avenir (le) Confolentais évoque "la vie de l'ancien instituteur Marcel Mathias racontée dans un webdocumentaire" dans la rubrique Saint-Coutant:
Le 31 juillet 2020, le blog "La Résistance Française" publie un billet commémorant le "Centenaire Marcel Mathias", le 1er août 2020: http://resistancefrancaise.blogspot.com/2020/07/centenaire-marcel-mathias-1920-2011.html